Evelyne Mertens
 

Partager l’essentiel

S’écrire au présent

Les mots nous servent à réfléchir et à partager. En écrivant, on dépose ce qui nous habite. En lisant, on envisage d’autres manières de percevoir le monde. Les histoires donnent un sens à nos vies, en prendre soin est important.

 
 
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Vous souhaitez écrire votre histoire sans savoir par où commencer ?

Vous écrivez et aimeriez un regard extérieur sur votre travail avant de continuer ?

Vous avez quelque chose à dire mais vous craignez de ne pas y arriver ?

Vous aimeriez partager votre vécu mais écrire vous intimide ?

Votre psy vous suggère d’écrire mais vous avez la flemme ?

Votre famille souhaite connaître ce qui vous est arrivé ?

Vous êtes au bon endroit.

En quelques mots

Après 15 ans en tant que bibliothécaire, je me suis formée au recueil de récit de vie à l’université de Fribourg. Je passe de lectrice assidue à écrivaine passionnée.

Depuis 2018, j’ai accompagné l’écriture de dizaines de récits. Toujours avec la même émotion.

Au fil du temps, je diversifie mes activités grâce aux pratiques narratives, aux ateliers d’écriture, à l’écriture thérapeutique, l’accompagnement à la fin de vie et aux cafés-récits.

Pourquoi se raconter ?

Se raconter fait prendre conscience de ce qui nous relie à nos proches et au monde. Lorsqu’elles sont partagées, les histoires nous rapprochent. Elles créent des ponts entre les gens. Nos récits ne sont-ils pas toujours destinés à quelqu’un ?

En se racontant, on accepte de transmettre une part de soi. Pas forcément celle qu’on avait prévue. Les histoires nous embarquent parfois là où on ne pensait pas. Qu’ai-je ressenti face à tel ou tel événement ? Pourquoi tel moment a-t-il influencé ma vie ? Ce qui est passé nous entraine à voir plus loin.


Pourquoi écrire ?

Écrire c’est faire des choix. C’est prendre le temps de préciser. Rien dans cet acte n’est spontané : les mots écrits sont choisis pour durer. On les sélectionne pour exprimer ce qui n’appartient qu’à nous, pour se jouer du temps qui passe, ou réfléchir à ce que l’on est devenu·e.

L’écriture nous contraint à prendre de la distance, à replacer les événements dans un contexte. C’est ainsi que l’on comprend mieux ce qui nous appartient et ce qui vient de l’extérieur. Écrire, c’est aussi assumer une part d’oubli nécessaire.

Suivez-moi sur Instagram @histoiredevies